Nous ne le dirons jamais assez, il est très important de se relire. Pour les fautes, bien entendu, mais surtout pour jauger le bon déroulement de la trame, les incohérences éventuelles qui pourraient subsister dans l’écrit.
C’est pour ces raisons qu’il est important de faire lire son manuscrit à une tierce personne afin d’avoir un avis.
Vous avez écrit un livre et vous souhaitez le publier en version audio ? Voici quelques conseils.
Le suspense est un élément crucial dans la création d'une œuvre littéraire captivante. Il s'agit de cette tension narrative qui pousse le lecteur à tourner les pages, avide de découvrir ce qui va se passer ensuite. Que vous écriviez un thriller, un roman policier énigmatique ou même une romance pleine de rebondissements, savoir maîtriser l'art du suspense est essentiel pour maintenir l'intérêt de vos lecteurs.
En littérature, le terme « hareng rouge » (ou « red herring » en anglais) désigne une fausse piste, un élément de l'intrigue qui est utilisé pour détourner l'attention du lecteur des vrais enjeux ou de la résolution de l'énigme. Le hareng rouge est souvent utilisé dans les œuvres de fiction, en particulier dans les romans policiers ou les histoires de mystère, pour tromper le lecteur et maintenir le suspense. Nous allons découvrir les origines du hareng rouge, ainsi que quelques conseils pour l’utiliser dans un ouvrage.
Lorsqu’on écrit à la première personne, la principale règle à observer est de bien se mettre à la place du personnage puisque tout va se passer au travers de ses yeux. Il faut donc utiliser la première personne du singulier ou du pluriel. Le temps employé (présent, passé, futur, etc) mais il faut donc utiliser le Je, et le Nous.
Nous avons vu précédemment la routine d’écriture d’Ernest Hemingway. Aujourd’hui, nous allons voir celle de Samuel Beckett.
Lorsqu'on parle de narration, il est essentiel de distinguer entre le point de vue interne et l'autobiographie, deux approches qui, bien qu'elles puissent sembler similaires, présentent des différences significatives. Le point de vue interne offre une perspective intime et subjective d'un personnage fictif, permettant aux lecteurs de vivre les événements et les émotions à travers ses yeux. L'autobiographie, en revanche, est le récit de la vie réelle de l'auteur, raconté par lui-même.
Créer des personnages féminins forts et complexes dans un récit est une tâche qui va bien au-delà des simples clichés et stéréotypes. Dans un monde où la diversité et l'authenticité sont de plus en plus valorisées, il est crucial pour les écrivains et les créateurs de contenu de donner vie à des figures féminines qui reflètent la richesse et la profondeur de l'expérience humaine. Ces personnages ne sont pas seulement là pour soutenir l'intrigue, mais pour être des moteurs actifs de l'histoire, avec leurs propres arcs, défis, et triomphes.
Dans cet article, nous explorerons les techniques et les considérations essentielles pour créer des personnages féminins qui résonnent avec le lecteur, en alliant force intérieure, complexité émotionnelle, et authenticité.
L'écriture est une aventure unique. Certains auteurs plongent directement dans l'écriture d'un manuscrit, laissant libre cours à leur inspiration, tandis que d'autres préfèrent commencer par un premier jet, une sorte de brouillon où les idées sont répertoriées et explorées avant d'être organisées.
Dans cet article, nous explorerons les différentes approches du processus d'écriture, en mettant en lumière l'importance du premier jet et en soulignant qu'il n'y a pas de méthode universelle pour créer un chef-d'œuvre littéraire.
Nous vous avons précédemment donné quelques conseils pour créer une routine d’écriture. Aujourd’hui, voyons la routine d’écriture du célèbre écrivain Ernest Hemingway.
