Pour bien utiliser les figures de style, il est important de savoir les reconnaître et connaître leur fonction en fonction de l'effet recherché. Il faut aussi veiller à ce qu'elles soient adaptées au contexte et au message que vous souhaitez transmettre.
Nous avons tous une personne dans notre entourage qui fait de nombreuses fautes de français à l’écrit. Elle aimerait s’améliorer mais que peut-on lui conseiller
Voyons ensemble comment améliorer son français à l'écrit en 6 points.
Lorsque nous écrivons « puisque, lorsque, quoique, jusque, presque ou quelque », il nous arrive de nous demander s’il faut les élider devant une voyelle, c’est-à-dire enlever le « e » et le remplacer par une apostrophe.
Voyons ensemble dans quels cas les élider.
Au jour d’aujourd’hui, allumer la lumière… Deux expressions utilisées tous les jours à l’oral et à l’écrit mais qui sont mal vues. Pourquoi cela ? Tout simplement parce que ce sont des pléonasmes.
Un pléonasme qu’est-ce que c’est ? Il s’agit d’une tournure consistant à répéter des mots ou idées de même sens dans une même phrase. Bien que parfois, le pléonasme soit utilisé pour créer un effet de style, il est souvent considéré comme abusif et crée une certaine redondance qui n’est pas appréciée de tous.
Dans la langue française, il existe plusieurs modes : les modes personnels avec l’indicatif, l’impératif, le conditionnel et le subjonctif et les modes impersonnels avec l’infinitif, le participe et le gérondif.
Nous allons nous intéresser plus particulièrement au subjonctif que l’on décline au présent, à l’imparfait, au passé et au plus-que-parfait. À l’oral, on n’utilise que les subjonctifs présent et passé, les deux autres étant de moins en moins utilisés et plutôt employés dans la littérature.
L’année dernière, je vous avais parlé de l’auxiliaire avoir et des accords avec celui-ci. Cette fois, je voudrais aborder les accords du participe passé avec l’auxiliaire être. On a tendance à se dire « comme c’est l’auxiliaire être, j’accorde » MAIS NON, PAS TOUJOURS ! Par exemple, nous ne devons pas écrire, « Ils se sont succédés » ou encore « Ils se sont rendus compte ». Nous devons écrire « Ils se sont succédé » et « Ils se sont rendu compte ». Mais pourquoi ?
Aujourd’hui, je reviens pour des conseils sur notre langue française bien complexe. Parfois, nous ne savons pas s’il faut accorder tel ou tel mot. Alors je vais tenter de vous aider sur certains d’entre eux. Dans quelle phrase écrivons-nous quelque ou quelques ? Comment différencier l’adverbe de l’adjectif ?
Après le passé simple et l’impératif, j’ai choisi de faire un petit article sur le futur et le conditionnel.
Je suis sûre que beaucoup d’entre nous ne savent pas toujours comment écrire : Je devrai ou je devrais, je prendrai ou je prendrais, je chanterai ou je chanterais, j’aimerai ou j’aimerais et autres…. On se pose souvent la question, moi la première « Est-ce que je dois mettre un s ou non ? »
Vous le savez, la conjugaison française est un vrai casse-tête. Aujourd’hui, je voulais vous partager quelques petits conseils sur l’impératif.
En effet, nous ne savons pas toujours bien l’utiliser et certaines erreurs sont récurrentes.
Voyons ensemble les quelques petites règles pour vous aider.
Lorsque vous rédiger un document, que ce soit un courrier ou encore un ouvrage, il arrive qu’il faille écrire des chiffres, pour des valeurs, ou des dates. Alors comment écrire les chiffres dans un texte ? En toutes lettres ? En chiffres ?
Il est important de préciser qu’il n’y a pas vraiment de règles à ce sujet, mais il est préférable d’utiliser des chiffres dans certains cas, et des lettres dans d’autres.