Après le prix Nobel de littérature le mois dernier, nous revoilà pour parler de nouveaux prix littéraires, ceux décernés par l’Académie française. Cette dernière porte une attention particulière à la défense et la promotion de la langue française à travers le monde. Parlons un peu des prix littéraires de l’Académie française.
Après avoir abordé le prix Goncourt, le prix Renaudot et le prix Femina, je voulais vous parler de l’un des prix littéraires les plus prestigieux du monde, le prix qui se trouve être la consécration ultime pour un écrivain : le prix Nobel de Littérature.
Cette année, le prix Nobel de Littérature a été décerné ce jeudi 6 octobre à la française Annie Ernaux pour l’ensemble de son œuvre autobiographique. Après une vingtaine d’écrits et plusieurs prix remportés, aujourd’hui c’est la consécration.
Après avoir parlé du prix Renaudot et du prix Goncourt, nous nous retrouvons cette semaine pour aborder un autre prix littéraire prestigieux, le Prix Femina.
Le prix Renaudot est intimement lié au prix Goncourt.
En effet, le prix Renaudot a été créé par des journalistes et critiques littéraires. Alors qu’ils attendaient la délibération du jury du prix Goncourt, ils perdirent patience et décidèrent de créer leur propre prix. Cette idée vint plus particulièrement de Gaston Picard qui a ensuite été suivi par neuf autres journalistes. Le prix est donc né en 1925, et c’est l’année en 1926 que le prix Renaudot a été décerné pour la première fois.
Dans le monde de l’édition, il existe de nombreux évènements qui visent à faire connaître et récompenser la qualité de certains ouvrages. Les concours, prix littéraires et salons en font partie. Le prix Goncourt est l’un des prix les plus convoités par les auteurs. Découvrons ensemble l’histoire du prix Goncourt, les conditions de participation et les récompenses accordées au prix Goncourt ainsi que les autres prix décernés par l’Académie Goncourt.
Aujourd’hui, nous vivons dans un monde où internet prend de plus en plus de place. Les médias traditionnels (presse écrite, télévision, radio) souffrent de la montée en puissance d’internet et des réseaux sociaux. C’est pourquoi il faut savoir que si vous avez publié un livre, les blogs littéraires et les critiques en ligne sont très importantes et nous allons vous montrer comment et où trouver les personnes qui peuvent vous aider à faire connaître votre ouvrage.
Après le passé simple et l’impératif, j’ai choisi de faire un petit article sur le futur et le conditionnel.
Je suis sûre que beaucoup d’entre nous ne savent pas toujours comment écrire : Je devrai ou je devrais, je prendrai ou je prendrais, je chanterai ou je chanterais, j’aimerai ou j’aimerais et autres…. On se pose souvent la question, moi la première « Est-ce que je dois mettre un s ou non ? »
Vous le savez, la conjugaison française est un vrai casse-tête. Aujourd’hui, je voulais vous partager quelques petits conseils sur l’impératif.
En effet, nous ne savons pas toujours bien l’utiliser et certaines erreurs sont récurrentes.
Voyons ensemble les quelques petites règles pour vous aider.
Nous savons bien à quel point il est difficile de se relire et pourtant, aussi laborieuse qu’elle soit, cette tâche est nécessaire. Vous avez beau repasser sur votre texte, et le relire, vous trouvez toujours des coquilles, des fautes qui vous semblent grossières et c’est fatiguant. Vous avez l’impression que vous n’en verrez jamais le bout, alors nous allons étudier la question : pourquoi est-il si difficile de se relire, y a-t-il des astuces pour bien se relire ?
Lorsque vous rédiger un document, que ce soit un courrier ou encore un ouvrage, il arrive qu’il faille écrire des chiffres, pour des valeurs, ou des dates. Alors comment écrire les chiffres dans un texte ? En toutes lettres ? En chiffres ?
Il est important de préciser qu’il n’y a pas vraiment de règles à ce sujet, mais il est préférable d’utiliser des chiffres dans certains cas, et des lettres dans d’autres.
